Lundi 18 mai, le Puy en Velay

Départ de St Suffren après la fin d'activation de la R276 de Salon, ce qui nous fait décoller vers 11h10

Route directe sur le Puy en montée vers 4500 pieds avec Salon Approche.

Passage au dessus du lac d'Issarlès

Posés en piste 33 en semi directe après un contact avec un ULM au sol qui nous confirme la piste.
​Le parking est plutôt désert et nous appelons vite un taxi pour rejoindre la ville.

En attendant le taxi....

C'est une jeune femme qui nous prend en charge, Cécile, et nous emmène prestement au centre ville avec sa Toyota monospace, apparemment elle connait bien les radars car elle pilote son véhicule à un train d'enfer.

Nous galérons un peu pour trouver un troquet sympathique, puis nous dénichons une place en terrasse au "Petit Palais" place du Clauzel, juste à côté de l'office du tourisme.
La patronne est très aimable et nous déjeunons d'une tourte maison et lentilles du Puy.

Après le repas nous montons vers la ville haute pour se rendre à la mercerie "De File En Fuseau", rue Raphaël, où Dominique doit acheter du fil de lin.

Après ces quelques emplettes nous redescendons place du Breuil boire un café et écrire un mot à Rodolphe au "Café de l'Aviation".

On rappelle Cécile pour rejoindre l'aéroport, elle se pointe 4 minutes après notre coup de fil, hyper efficace!!

​Retour à l'aérogare du Puy.

Après mise en route nous sommes obligés de poireauter derrière un DR315 qui rentre à Chambéry et qui n'ose pas s'aligner et décoller rapidement devant une finale qui elle même précède une autre finale qui elle même fait un complet et donc ça prend beaucoup de temps tout ça car il n'y a qu'un seul taxiway pour dégager la piste et les appareils sont forcés de faire un 180 pour remonter la dite piste...bref, c'était pas le bon moment pour se mettre en l'air rapidement.

Pas grave, on finit quand même par se faufiler et mettre le cap sur Salon Eyguières pour récupérer un T-Shirt.

Les sommets de la haute Ardèche, à l'Est du Bès.

Retour sans histoire, on se pose à Eyguières et nous retrouvons tout le staff de Nostradamus en grande discussion dans le chalet.
René nous remet le T-Shirt convoité et nous saluons ce beau monde pour rentrer à la maison où nous trouvons Jean-Louis en plein boulot avec sa faucheuse réparée.
​On va boire un coup chez lui et nous rentrons ensuite dans nos pénates sur le coup des 8h30 du soir.